logo cspbat

UFRSMBH 

campus condorcet logoUSPN 

L’unité INSERM U1148

Le Laboratoire de Recherche Vasculaire Translationnelle (Laboratory for Vascular Translational Science - LVTS) est associé à l’Inserm, à l’Université Paris Diderot, et l’Université Paris 13. Il est identifié comme UMRS 1148. Son équipe de chimistes, de biologistes et de spécialistes des matériaux œuvrent ensemble pour concevoir et mettre au point de nouvelles molécules et matériaux pour l’imagerie médicale et l’ingénierie cardiovasculaire.

Avec 6 équipes, le laboratoire d’environ 200 personnes a une approche transdisciplinaire avec les objectifs de lutte contre les pathologies vasculaires. Les équipes sont affiliées à 3 ITMO (CMN, TS, IHP), à plusieurs Ecoles doctorales du PRES Sorbonne Paris Cité, et à 2 sections scientifiques de l'Inserm (CSS4 et CSS8).

Pour mener à bien ces projets, les compétences humaines et technologiques (https://lvts.fr/platforms/) comprennent les bases de données cliniques, enquêtes cliniques translationnelles (sténose carotidienne, anévrisme et dissections de l'aorte ascendante, Biocore), bases de données de tissus humains et de cellules, de nombreux modèles expérimentaux de la maladie (souris transgéniques, rats , lapins ), des méthodes de biologie moléculaire et cellulaire (génétique et épigénétique, protéomique, ingénierie des protéines, cytométrie en flux), la chimie des biopolymères, l’élaboration de biomatériaux et nanosystèmes, et les technologies d'imagerie chez les petits animaux et chez l'homme (imagerie nucléaire, ultrasons et IRM).

  L’unité INSERM U1148

Le Groupe Nanomatériaux de l’université Paris 13, UFR SMBH, INSERM U1148

Le groupe Nanomatériaux développe la synthèse de nanoparticules dites hybrides c’est-à-dire constituées d’un cœur inorganique et d’une couche organique pour des applications en particulier en nanomédecine.

Différents nanomatériaux sont ainsi synthétisés (oxyde de fer, oxyde de zinc gallate, oxyde d’hafnium, or, nanoparticules mixtes) avec l’objectif de contrôler la taille, la forme et la composition du matériau car ces trois paramètres vont influer sur les propriétés physiques intrinsèques de la nanoparticule.

Outre la caractérisation des propriétés physiques et  physico-chimiques de ces nanoparticules, le groupe développe des méthodologies originales pour la fonctionnalisation de surface afin d’une part d’éviter les phénomènes d’agglomération et de sédimentation en conditions physiologiques mais aussi afin d’améliorer leur temps de circulation dans le sang (furtivité) et finalement d’améliorer leur accumulation dans  les sites d’intérêts en « jouant » d’une part sur l’effet EPR (« Enhanced permeability and retention effect »)  liés à l’hypervascularisation dans le cadre de différentes pathologies mais également en ajoutant à leur surface des molécules ciblantes (oligonucléotide peptide, anticorps, protéine) ou présentant des propriétés thérapeutiques.

  Le Groupe Nanomatériaux de l’université Paris 13, UFR SMBH, INSERM U1148

visuel cNanoMat